Avec le retour de beaux jours, on voit fleurir de partout ces funambules d’un nouveau genre. En milieu naturel ou urbain, ils évoluent sur des sangles plus ou moins tendues appelées slacklines.Slackline pourrait se traduire littéralement par ligne molle et pourrait nous faire penser à ces équilibristes du XXe siècle qui traversaient des rues sur un câble tendu avec un balancier dans les mains. On le voit donc, cette pratique a considérablement évoluée au point de devenir un loisir populaire et presque sans risque pour peut que l'on se cantonne à ses variantes les plus simples ! On vous dit tout sur ce loisir sportif !
La slackline sportive nous vient des USA où elle apparaît au début des années 1980 en Californie dans le parc naturel du Yosemite. Au pied du Nose, les grimpeurs décidèrent de tendres leurs vieilles sangles entre deux points pour quelques exercices d'équilibre. Le précurseur est un grimpeur américain que l’on connait sous le nom de Chongo. et qui a donné son nom à une manière de se lever sur la slackline : le Chongo Start. Quelques années plus tard, les plus extrêmes tendent leur sangle au-dessus du vide... Il arrivera en France au début des années 2000.
La slackline est une activité physique et sportive qui consiste à marcher ou sauter et effectuer des figures tout en conservant l’équilibre.
Ludique et accessible à tous, elle élargit la palette des activités de plein air, tout en offrant la possibilité de se pratiquer en salle. Elle permet de travailler l’équilibre, le physique et la concentration. Sur un plan socio-éducatif, la slackline se prête à la construction de projets (installation de parcours) et est propice à l’épanouissement de soi par la progression dans la difficulté des exercices. La slackline se pratique en solo, en groupe ou en famille. Elle offre en outre un support idéal pour une éducation active à la sécurité et invite au respect de l’environnement à travers une meilleure connaissance du milieu naturel, et en particulier des arbres, points d’ancrage les plus fréquents. L’Ufolep s’engage aujourd’hui dans la promotion de la slackline au sein de son réseau associatif (écoles de sport, associations multisports, de sports de nature, de gymnastique et d’expression), auprès de ses partenaires (centres sociaux, accueils collectifs de mineurs), et à l’occasion de manifestations ouvertes à tous. Elle a publié un cahier pédagogique qui a pour objet de présenter l’activité à travers des situations évolutives allant de la découverte au perfectionnement.
La pratique en extérieur nécessite un temps minimum de découverte, d’analyse et de choix du lieu d’activité. Ce moment est essentiel pour s’assurer des conditions de sécurité et du respect du milieu naturel.
On peut installer une slackline sur tout support présentant des garanties de solidité (à savoir une résistance supérieure à 2,5 tonnes). C’est pourquoi il est nécessaire de prendre les précautions d’usage et de respecter quelques principes afin de sécuriser ses ancrages, en particulier avant d’installer une slackline entre deux arbres : lisez attentivement et suivez précisément les notices d’installation des fabricants, elles sont garantes des bonnes procédures.
Nous vous proposons aussi le pdf de 4 pages sur la protection des arbres édité par Slack.fr dans notre documentation.
CHOISIR DES ARBRES EN BONNE SANTÉ
Si les arbres sont souvent les éléments les plus adaptés à l’installation d’une slackline, ce sont aussi des supports vivants. Ils peuvent être malades, fragiles, donc dangereux. Prenez quelques minutes pour les étudier de près avant de faire votre choix. Si vous détectez sur un arbre des traces suspectes, des couleurs anormales, des champignons, des cicatrices profondes et mal refermées, des coulures ou la présence d’insectes parasites, renoncez à l’utiliser.
CHOISIR UN TRONC SUFFISAMMENT GROS
Préférez des arbres dont la section du tronc où vous placerez le point de fixation est d’un diamètre d’au moins 30 à 40 cm. Si vous n’avez pas de quoi mesurer, prenez comme point de repère votre ceinture abdominale.
CHOISIR UNE ESSENCE PEU FRAGILE
Préférez des arbres à écorce épaisse, rugueuse, voir écailleuse. En effet, la sève de l’arbre s’écoule sous celle-ci, et en exerçant cet étranglement autour du tronc on risque de comprimer et d’écraser tous ses «vaisseaux». Il convient donc de choisir l’essence la moins fragile: privilégiez donc les arbres dotés d’écorces craquelées et rugueuses (pin, chêne, hêtre, charme) plus épaisses que les écorces lisses. Un diamètre de plus de 50 cm, et le fait de placer au point d’ancrage une protection adaptée entre l’arbre et la sangle, permettent toutefois l’utilisation d’essences à écorce lisse.
NETTOYER LE SITE DES BOIS MORTS
Levez les yeux, surveillez les branches mortes, élaguez celles qui sont susceptibles de tomber: si nécessaire, coupez-les proprement. Mais attention: il ne s’agit pas de casser des branches vivantes! Éliminez également les obstacles au sol susceptibles d’encombrer les zones de réception (pierres, cailloux).
PROTÉGER SYSTÉMATIQUEMENT LES ARBRES AU POINT D’ANCRAGE
Quelle que soit la nature de vos installations, utilisez des protections pour protéger le tronc des frottements occasionnés par la sangle. Cellesci protègeront aussi votre sangle de l’abrasion occasionnée par l’écorce. On trouve dans le commerce des protections spécialement conçues pour cela. Vous pouvez également utiliser des chutes de moquette, des couvertures, de vieux tapis, des serviettes de toilette ou des plaques de carton. DEMANDER UNE AUTORISATION D’ACCÈS
Quel que soit le site que vous utilisez, il appartient à un propriétaire qui ne connait pas forcement l’activité. Informez-le, demandez son autorisation, établissez au besoin une convention.
La slackline sportive nous vient des USA où elle apparaît au début des années 1980 en Californie dans le parc naturel du Yosemite. Au pied du Nose, les grimpeurs décidèrent de tendres leurs vieilles sangles entre deux points pour quelques exercices d'équilibre. Le précurseur est un grimpeur américain que l’on connait sous le nom de Chongo. et qui a donné son nom à une manière de se lever sur la slackline : le Chongo Start. Quelques années plus tard, les plus extrêmes tendent leur sangle au-dessus du vide... Il arrivera en France au début des années 2000.
La slackline est une activité physique et sportive qui consiste à marcher ou sauter et effectuer des figures tout en conservant l’équilibre.
Ludique et accessible à tous, elle élargit la palette des activités de plein air, tout en offrant la possibilité de se pratiquer en salle. Elle permet de travailler l’équilibre, le physique et la concentration. Sur un plan socio-éducatif, la slackline se prête à la construction de projets (installation de parcours) et est propice à l’épanouissement de soi par la progression dans la difficulté des exercices. La slackline se pratique en solo, en groupe ou en famille. Elle offre en outre un support idéal pour une éducation active à la sécurité et invite au respect de l’environnement à travers une meilleure connaissance du milieu naturel, et en particulier des arbres, points d’ancrage les plus fréquents. L’Ufolep s’engage aujourd’hui dans la promotion de la slackline au sein de son réseau associatif (écoles de sport, associations multisports, de sports de nature, de gymnastique et d’expression), auprès de ses partenaires (centres sociaux, accueils collectifs de mineurs), et à l’occasion de manifestations ouvertes à tous. Elle a publié un cahier pédagogique qui a pour objet de présenter l’activité à travers des situations évolutives allant de la découverte au perfectionnement.
La slackline a connu une forte évolution ces 15 dernières années. En conséquence, il existe de nombreuses pratiques.
La longline est une grande slack permettant de traverser des distances allant de 30 à plus de 100 m de long. Tenir en équilibre sur une longline demande beaucoup de pratique. Les extrémités de la slack se trouvent plus haut.
La slackline et le longline se pratique entre 0.50 et 2 mètres du sol.
La waterline consiste à poser la slackline au-dessus de l’eau. Il est nécessaire d’être vigilant à la hauteur de la slackline par rapport à l’eau, ainsi qu'à la profondeur de l’eau ! L'eau c'est parfois dure comme du béton et si c'est peu profond, le risque de se blesser en touchant le fond est grand ! De quoi rendre les baignades estivales plus ludiques...
La blindline c'est faire de la slackline en aveugle, les yeux bandés quoi ! Cette pratique demande beaucoup de maîtrise car il n’y a plus aucun repère visuel. Il faut donc trouver son équilibre avec le simple ressenti du corps. L'étape ultime avant de passer au highline.
Enfin, la highline consiste à tendre la slackline au-dessus de 5 m de haut. Là, on entre dans l'extrême ! Il est donc nécessaire d’avoir un équipement de sécurité adéquat (baudrier, leashfall, élingues,…). Si l’installation venait à céder et/ou le pratiquant à chuter sans leash, le risque est mortelle ! L'installation de highlines ne se fait pas donc pas la légère. 5 mètres, c'est un minimum ! Entre 2 et 5 mètres se situe une zone dans laquelle toute pratique sur sangle est dangereuse ! Une chute de 2 à 5 m peut suffir à tuer et avec l’élasticité des matériaux, le slackeur peut être amené à heurter le sol.
La première highline française a été posée en Savoie en 2006 bien que la plus connue reste ‘’Ripson Gap’’ au Parmelan en Haute Savoie ouverte en 2007 par Damien Mercier et Jonathan Ritson. Plus tard, une poignée de slackeur français à fait un film qui s’appelle ‘’The flight of the frenchies’’. Le plus dur ici c’est de surmonter sa peur du vide. Pas toujours évident même pour des grimpeurs !
Certains adeptes de cette discipline comme Andy Lewis n’hésitent pas à repousser les limites et à ne s’octroyer pour protection qu’un parachute de base jump. D’autres s’adonnent au free solo. C’est-à-dire qu’ils n’ont aucune protection et risque donc l'accident mortel en cas de chute. Dean Potter était un de ses adeptes !
Voilà pour la découverte de cette activité.
A Bleau, nous vous recommandons les sites du Rocher Canon, Canche aux Mercier et, éventuellement Cul de chien.
Si la slack est une activité conviviale, elle nécessite de respecter :
1° la nature (et notamment les arbres),
2° les autres usagers !
Rien de plus énervant que d'arriver sur un site de grimpe dont les chemins sont barrés de plusieurs slacks ! (C'set souvent le cas au Cuvier, Franchard, Roche aux Sabots...)
Voici un extrait des bonnes pratiques issu de la documentation de l'UFOLEP (pdf 6 Mo).
La Shortline est la pratique la plus connue et la plus accessible de la slackline. La sangle va de 7 à 15m de long, placée de 30 à 60 cm du sol. Il s’agit de la pratique recommandée pour les débutants. Chacun est obligé de passer par là.
Le but pour les débutants en slackline au départ va être tout simplement de réussir à se lever et faire quelques pas. L'astuce pour y arriver, ne jamais regarder vos pieds ! Préférez fixer du regard un point loin devant vous.
La Trickline est une autre pratique de la slackline. La sangle doit alors être courte et extrêmement tendue. Il s’agit de faire des figures tant statiques que dynamiques. Même si les figures dynamiques sont souvent plus impressionnantes, il ne faut pas négliger les figures statiques qui sont bien souvent plus difficiles à tenir.
La Jumpline est un dérivé de la trickline. Elle se pratique sur une slackline de 5cm de largueur. Il s’agit de faire des sauts acrobatiques. De nombreux contest de jumpline sont organisés à travers le monde où les candidats rivalisent de front flip, poirier sur la slackline et bien d’autres choses encore. Cette pratique se fait essentiellement en milieu urbain.
Le but pour les débutants en slackline au départ va être tout simplement de réussir à se lever et faire quelques pas. L'astuce pour y arriver, ne jamais regarder vos pieds ! Préférez fixer du regard un point loin devant vous.
La Trickline est une autre pratique de la slackline. La sangle doit alors être courte et extrêmement tendue. Il s’agit de faire des figures tant statiques que dynamiques. Même si les figures dynamiques sont souvent plus impressionnantes, il ne faut pas négliger les figures statiques qui sont bien souvent plus difficiles à tenir.
La Jumpline est un dérivé de la trickline. Elle se pratique sur une slackline de 5cm de largueur. Il s’agit de faire des sauts acrobatiques. De nombreux contest de jumpline sont organisés à travers le monde où les candidats rivalisent de front flip, poirier sur la slackline et bien d’autres choses encore. Cette pratique se fait essentiellement en milieu urbain.
La longline est une grande slack permettant de traverser des distances allant de 30 à plus de 100 m de long. Tenir en équilibre sur une longline demande beaucoup de pratique. Les extrémités de la slack se trouvent plus haut.
La slackline et le longline se pratique entre 0.50 et 2 mètres du sol.
La waterline consiste à poser la slackline au-dessus de l’eau. Il est nécessaire d’être vigilant à la hauteur de la slackline par rapport à l’eau, ainsi qu'à la profondeur de l’eau ! L'eau c'est parfois dure comme du béton et si c'est peu profond, le risque de se blesser en touchant le fond est grand ! De quoi rendre les baignades estivales plus ludiques...
La blindline c'est faire de la slackline en aveugle, les yeux bandés quoi ! Cette pratique demande beaucoup de maîtrise car il n’y a plus aucun repère visuel. Il faut donc trouver son équilibre avec le simple ressenti du corps. L'étape ultime avant de passer au highline.
Enfin, la highline consiste à tendre la slackline au-dessus de 5 m de haut. Là, on entre dans l'extrême ! Il est donc nécessaire d’avoir un équipement de sécurité adéquat (baudrier, leashfall, élingues,…). Si l’installation venait à céder et/ou le pratiquant à chuter sans leash, le risque est mortelle ! L'installation de highlines ne se fait pas donc pas la légère. 5 mètres, c'est un minimum ! Entre 2 et 5 mètres se situe une zone dans laquelle toute pratique sur sangle est dangereuse ! Une chute de 2 à 5 m peut suffir à tuer et avec l’élasticité des matériaux, le slackeur peut être amené à heurter le sol.
La première highline française a été posée en Savoie en 2006 bien que la plus connue reste ‘’Ripson Gap’’ au Parmelan en Haute Savoie ouverte en 2007 par Damien Mercier et Jonathan Ritson. Plus tard, une poignée de slackeur français à fait un film qui s’appelle ‘’The flight of the frenchies’’. Le plus dur ici c’est de surmonter sa peur du vide. Pas toujours évident même pour des grimpeurs !
Certains adeptes de cette discipline comme Andy Lewis n’hésitent pas à repousser les limites et à ne s’octroyer pour protection qu’un parachute de base jump. D’autres s’adonnent au free solo. C’est-à-dire qu’ils n’ont aucune protection et risque donc l'accident mortel en cas de chute. Dean Potter était un de ses adeptes !
Voilà pour la découverte de cette activité.
A Bleau, nous vous recommandons les sites du Rocher Canon, Canche aux Mercier et, éventuellement Cul de chien.
Si la slack est une activité conviviale, elle nécessite de respecter :
1° la nature (et notamment les arbres),
2° les autres usagers !
Rien de plus énervant que d'arriver sur un site de grimpe dont les chemins sont barrés de plusieurs slacks ! (C'set souvent le cas au Cuvier, Franchard, Roche aux Sabots...)
Voici un extrait des bonnes pratiques issu de la documentation de l'UFOLEP (pdf 6 Mo).
INSTALLER UNE SLACKLINE EN EXTÉRIEUR
La pratique en extérieur nécessite un temps minimum de découverte, d’analyse et de choix du lieu d’activité. Ce moment est essentiel pour s’assurer des conditions de sécurité et du respect du milieu naturel.
On peut installer une slackline sur tout support présentant des garanties de solidité (à savoir une résistance supérieure à 2,5 tonnes). C’est pourquoi il est nécessaire de prendre les précautions d’usage et de respecter quelques principes afin de sécuriser ses ancrages, en particulier avant d’installer une slackline entre deux arbres : lisez attentivement et suivez précisément les notices d’installation des fabricants, elles sont garantes des bonnes procédures.
Nous vous proposons aussi le pdf de 4 pages sur la protection des arbres édité par Slack.fr dans notre documentation.
CHOISIR DES ARBRES EN BONNE SANTÉ
Si les arbres sont souvent les éléments les plus adaptés à l’installation d’une slackline, ce sont aussi des supports vivants. Ils peuvent être malades, fragiles, donc dangereux. Prenez quelques minutes pour les étudier de près avant de faire votre choix. Si vous détectez sur un arbre des traces suspectes, des couleurs anormales, des champignons, des cicatrices profondes et mal refermées, des coulures ou la présence d’insectes parasites, renoncez à l’utiliser.
CHOISIR UN TRONC SUFFISAMMENT GROS
Préférez des arbres dont la section du tronc où vous placerez le point de fixation est d’un diamètre d’au moins 30 à 40 cm. Si vous n’avez pas de quoi mesurer, prenez comme point de repère votre ceinture abdominale.
CHOISIR UNE ESSENCE PEU FRAGILE
Préférez des arbres à écorce épaisse, rugueuse, voir écailleuse. En effet, la sève de l’arbre s’écoule sous celle-ci, et en exerçant cet étranglement autour du tronc on risque de comprimer et d’écraser tous ses «vaisseaux». Il convient donc de choisir l’essence la moins fragile: privilégiez donc les arbres dotés d’écorces craquelées et rugueuses (pin, chêne, hêtre, charme) plus épaisses que les écorces lisses. Un diamètre de plus de 50 cm, et le fait de placer au point d’ancrage une protection adaptée entre l’arbre et la sangle, permettent toutefois l’utilisation d’essences à écorce lisse.
NETTOYER LE SITE DES BOIS MORTS
Levez les yeux, surveillez les branches mortes, élaguez celles qui sont susceptibles de tomber: si nécessaire, coupez-les proprement. Mais attention: il ne s’agit pas de casser des branches vivantes! Éliminez également les obstacles au sol susceptibles d’encombrer les zones de réception (pierres, cailloux).
PROTÉGER SYSTÉMATIQUEMENT LES ARBRES AU POINT D’ANCRAGE
Quelle que soit la nature de vos installations, utilisez des protections pour protéger le tronc des frottements occasionnés par la sangle. Cellesci protègeront aussi votre sangle de l’abrasion occasionnée par l’écorce. On trouve dans le commerce des protections spécialement conçues pour cela. Vous pouvez également utiliser des chutes de moquette, des couvertures, de vieux tapis, des serviettes de toilette ou des plaques de carton. DEMANDER UNE AUTORISATION D’ACCÈS
Quel que soit le site que vous utilisez, il appartient à un propriétaire qui ne connait pas forcement l’activité. Informez-le, demandez son autorisation, établissez au besoin une convention.
Il existe de très nombreuses associations pour vous aider dans vos premiers pas.
Depuis janvier 2014, il existe l’association "Slack2Bleau" basée à Dammarie les Lys
En savoir plus sur http://slack2bleau.e-monsite.com/
Sinon, vous avez de très nombreux renseignements sur www.slack.fr.
En savoir plus sur http://slack2bleau.e-monsite.com/
Sinon, vous avez de très nombreux renseignements sur www.slack.fr.
Protection de l'arbre insufisante ! |
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