Si vous êtes sur ce Webzine, c'est certainement que vous êtes un passionné d'un ou plusieurs sports de pleine nature. Il est donc certainement inutile que nous vous parlions "des dix commandements" du "bon" grimpeur, du "bon" randonneur ou du "bon" naturaliste.
Si vous êtes arrivé ici un peu par hasard, ou que vous débutez dans les sports et loisirs de pleine nature, cette page est juste là pour aider à la diffusion des bonnes pratiques, c'est à dire des règles de bons sens que chacun se doit d'appliquer pour minimiser l'impact de sa visite et sa pratique sur le milieu naturel.
Car hélàs, à chaque sortie en forêt de Fontainebleau, nous observons les « dérapages » des uns et des autres. Accumulés, ils ont un véritable impact sur les sites et conduisent parfois à leur interdiction totale soit par leur propriétaire, soit par la mise en place de réglementation. Nous consacrons de trop nombreux articles de ce blog à ceux-ci…
Il est encore temps de réparer nos erreurs en ramassant un peu plus de déchets la prochaine fois, en évitant les zones fragiles, bref, en respectant quelques limites simples.
Voici le résumé des bonnes pratiques des sports de pleine nature…
1° Je privilégie les transports en commun et le covoiturage pour me rendre sur le lieu choisi après avoir vérifié que son accès est autorisé à la date choisie.
2° Je stationne en respectant la réglementation du site, les accès de secours, les autres usagers et j’évite les zones dangereuses comme les bords de route.
3° Je reste sur les chemins balisés (je ne coupe pas les virages) et j'évite les zones cultivées et les pâturages, je referme les barrières. Cela vaut pour le temps de marche comme pour la pause pique-nique...
4° Je respecte la faune et la flore. Je respecte les autres usagers en minimisant les bruits (pas de musique, de cris, de moteurs…). Je tiens mon chien attaché et aux ordres.
5° Je ne déplace pas les pierres (éviter la construction de cairn : de nombreux animaux vivent sous les pierres). Je ne coupe pas les plantes mais je les prends en photo. Mes enfants font de même ! Je ne capture pas d'animaux...
6° Bien entendu, je ne laisse aucune trace de mon passage. Nos papiers toilettes, tampons et serviettes hygiéniques n’ont rien à faire en forêt. Quelle ignoble carte de visite ! Je me renseigne sur la meilleure façon de « faire » dans les bois.
7° Je ne bivouaque pas là où c'est interdit. Je ne fais pas non plus de camping sauvage. En aucun cas, je n'allume un feu. Bien entendu, je sais que le bruit et la lumière dérange les animaux la nuit donc si je suis en retard, je me fais discret.
8° Enfin, je participe à l’économie locale en privilégiant les petits commerces, les achats sur place, les hébergements autres que le bivouac sauvage. En faisant cela, mon sport devient une réalité économique locale ce qui lui donne plus de poids en cas d’interdiction !
Bref rien de bien compliqué mais c'est un peu dur... c'est du sport de pleine nature quoi !
Même, la randonnée, pratique à priori anodine a un impact sur la nature et les paysages mais qui dépend avant tout du nombre de promeneurs. Plus le nombre de personnes se déplaçant sur une couche de sol peu profonde est grand, plus le sol s'érode et se transforme en sol nu. S'ils quittent les sentiers balisés (couper les épingles provoque l'érosion des terrains), cueillent des champignons, des baies ou des fleurs en trop grande quantité, cris et suivent les animaux l’impact sera fort (mais la je confonds peut être avec les chasseurs).
Bref rien de bien compliqué mais c'est un peu dur... c'est du sport de pleine nature quoi !
Même, la randonnée, pratique à priori anodine a un impact sur la nature et les paysages mais qui dépend avant tout du nombre de promeneurs. Plus le nombre de personnes se déplaçant sur une couche de sol peu profonde est grand, plus le sol s'érode et se transforme en sol nu. S'ils quittent les sentiers balisés (couper les épingles provoque l'érosion des terrains), cueillent des champignons, des baies ou des fleurs en trop grande quantité, cris et suivent les animaux l’impact sera fort (mais la je confonds peut être avec les chasseurs).
La charte des bonnes pratiques des sports de nature doit être adaptée au milieu dans lequel il se pratique.
Par exemple, la haute montagne est un milieu de vie extrême, les espèces animales et végétales ne disposent que de très peu de temps pour accomplir leur cycle de vie. Le pied des parois, où vivent des espèces d'oiseaux qui couvent dans les rochers, est une des zones particulièrement sensibles au printemps. Pour accéder aux voies, les alpinistes sont amenés à sortir des chemins existants ce qui peut porter atteinte à la flore, accroître l’érosion dans les pentes fortes et faire fuir certains animaux et oiseaux qui sont particulièrement sensibles. Il convient donc de rester discret, principalement au printemps et en été.
La pratique du ski de randonnée et les promenades en raquettes ont augmenté et ont amené des activités de loisirs dans des zones préservées depuis longtemps. La faune est très sensible en période hivernale où les déplacements et la recherche de nourriture sont rendus plus difficiles par la neige. Le ski de randonnée et la pratique des raquettes obligent les animaux à des déplacements supplémentaires. Ils ont spécialement besoin de calme en hiver, car ils doivent préserver leurs réserves de graisse autant que possible. C'est le cas de nombreux mammifères (chevreuils, lièvres variables,...), mais également d'oiseaux (tétras, lagopèdes…). En passant dans les forêts hors sentiers, ces activités peuvent endommager les jeunes pousses de végétaux et ainsi nuire au développement de la forêt. Il est donc important de rester sur les espaces balisés ou prévus pour ces pratiques. Pour accéder et au retour des voies d'escalade, je reste sur les sentiers existants et ne coupe pas les lacets.
Parmi toutes les chartes élaborées par les clubs, les fédérations... la plus complète et réaliste est certainement celle de la FRAPNA. Nous vous en proposons certaines sur cette page et d'autres dans notre boite à outils Calaméo
La pratique du ski de randonnée et les promenades en raquettes ont augmenté et ont amené des activités de loisirs dans des zones préservées depuis longtemps. La faune est très sensible en période hivernale où les déplacements et la recherche de nourriture sont rendus plus difficiles par la neige. Le ski de randonnée et la pratique des raquettes obligent les animaux à des déplacements supplémentaires. Ils ont spécialement besoin de calme en hiver, car ils doivent préserver leurs réserves de graisse autant que possible. C'est le cas de nombreux mammifères (chevreuils, lièvres variables,...), mais également d'oiseaux (tétras, lagopèdes…). En passant dans les forêts hors sentiers, ces activités peuvent endommager les jeunes pousses de végétaux et ainsi nuire au développement de la forêt. Il est donc important de rester sur les espaces balisés ou prévus pour ces pratiques. Pour accéder et au retour des voies d'escalade, je reste sur les sentiers existants et ne coupe pas les lacets.
Parmi toutes les chartes élaborées par les clubs, les fédérations... la plus complète et réaliste est certainement celle de la FRAPNA. Nous vous en proposons certaines sur cette page et d'autres dans notre boite à outils Calaméo
Comme plus on est de fous, plus on rit, nos amis du Gîte Kailloux ont aussi ajouté une charte à leur site !
Comme tous les pratiquants ne respectent pas ces règles pourtant basiques, des sanctions sont prévues par la loi.
Nous consacrons une rubrique complète aux textes officiels accessible dans la colonne de gauche du Blog ainsi qu'un rappel sur toutes les sanctions sur notre page juridique.
Dans les sites "classés", une information est toujours mise en place pour informer les visiteurs...
http://tl2bmag.blogspot.com/2002/01/sanctions-dans-les-pn-et-reserves.html
Sérieusement mais pour se détendre un peu...
Faire CACA sans laisser de traces...
Le problème des déjections humaines dans les zones de montagne est rarement pris en compte. Pourtant elles génèrent de nombreux problèmes si elles ne sont pas traitées. On peu citer notamment le problème de la contamination par les bactéries dont la célèbre Escherichia Coli qui se retrouve rapidement dans les lacs et les rivières de la zone. De même, dans les sites de loisir sportifs de pleine nature, les dégéctions humaines constituent un vrai problème.
L'institut de recherche sur la préservation environnementale de Nagano (Japon) ainsi développé une technique de traitement des déjections humaines applicable dans les zones alpines et nommée Méthode SAT. Il est possible d'en savoir plus sur cette expérience sur : http://www.env.go.jp
En l'absence d'infrastructures, il existe heureusement quelques règles à suivre pour protéger la nature et ses habitants :
- On s'éloignera de manière conséquente des accès et pied de falaise. A Bleau, certains bords de sentiers (Roche aux Sabots) ou de parking (Isatis) sont devenus de vraies WC à ciel ouvert !
- On s'éloignera de plus de 50 m de tout ruisseau, source ou lac pour faire ces besoins.
- On remportera son papier toilette dans un petit sachet type zip-loc. La technique qui consiste à brûler le papier est peu recommandable notamment en été... on a déjà vu les résultats avec un incendie a Céüse. Certains utilisent une boîte en métal pour brûler le PQ ce qui est une bonne idée. Le top, serait bien entendu de rapporter 100 % de ses déchets. Les grimpeurs qui fréquentent les grandes voies du Yosémite savent de quoi on parle…
- Suivant le climat, il peut être conseillé d'enterrer (ou bien d'étaler) les déjections pour une dégradation plus rapide. A Bleau, un enfouissement de 10 à 15 cm est suffisant.
- on évitera d'uriner sur ces déjections, l'acide urique contenu dans l'urine détruisant certaines bactéries qui permettent la dégradation des déjections.
Pour aller encore plus loin, jetez un œil au reportage « engagé » de Rascal sur Zebloc
et lisez le livre "Comment chier dans les bois"... Si vous doutez de son sérieux, lisez sa critique rédigée par un randonner malin ! L'achat via Amazon est même possible depuis ce site !
Certains organismes sont spécialisés dans les techniques d'impact minimum. Ils proposent des formations et des conseils onlines.
Voir entre autre le programme Leave No Trace américain. (en anglais), ou son alter égo canadien (en français)
Celle - ci vient d'Espagne mais ce pourrait être n'importe où
Les grimpeurs aiment ils vraiment les sites naturels ?
Charte pour l'organisation des manifestations sportives dans le milieu naturel :
http://www.sportsdenature.gouv.fr/docs/superdoc/charte_manifestations_sportives_nature%20.pdf
Guide pour manifestation durable (Bretagne) http://www.lecollectifdesfestivals.org/site/?page_id=225
GUIDE ET CHARTE DE PICARDIE : Randonnées et découvertes rencontre picarde http://www.picardietourisme.com/
http://www.picardie-nature.org/
Guide des bonnes pratiques sportives FRAPNA (Fédération Rhône Alpes de Protection de la Nature) http://www.ecocitoyen-grenoble.org/spip.php?article255 http://www.frapna.org/isere/content...
Guide des évènements écoresponsables, université du Québec Chicoutimi http://ecoconseil.uqac.ca/chaire/documents/ChaireEcoConseil_GuideEER_2009fr.pdf
Guide des manifestations sportives et développement durable UFOLEP http://www.sport21.fr/resources/guide+manifestations+DD.pdf
Guide pour des manifestations responsables Gironde http://www.cg33.fr/cg33/upload/docs/application/x-download/2010-04/guide_manifs_responsables_2010.pdf
Principales recommandations ecosport (Suisse) http://www.swissolympic.ch/fr/Portaldata/41/Resources/04_ethik/ecosport/04_wissen/ZentraleEmpfehlungen_f_2010.pdf
Guide des écomanifestations en Poitou Charente http://www.vacances-autrement.net/espace/fichier/47_eco-manif-guide.pdf
Guide pour la gestion écoresponsable d'évènements à l'interne (Québec) http://www.loto-quebec.com/corporatif/pdf/developpementdurable/Empreinte/Guide_pour_la_gestion_ecoresponsable_evenements.pdf
Charte du sport pour le développemnt durable (fondation nicolas Hulot et ADEM) http://www.fondation-nature-homme.org/node
L'atelier technique des espaces naturels (sport) http://www.espaces-naturels.fr/
Fédération des Conservatoires d'espaces naturels http://www.enf-conservatoires.org/
Fédération des parcs Naturels régionaux de france http://www.parcs-naturels-regionaux.tm.fr/fr/accueil/
Réserve Naturelles de france http://www.reserves-naturelles.org/
L'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) : http://www.ademe.fr/
Le mot du Conseil Général de Seine-et-Marne
Sports de nature et préservation de l'environnement
La Commission départementale des espaces, sites et itinéraires (CDESI), mise en place le 26 juin 2006, a pour mission de favoriser le développement des sports de plein air tout en respectant l'environnement exceptionnel de notre département.
Favoriser les sports de nature tout en respectant l'environnement
Poumon vert de l'Ile-de-France, la Seine-et-Marne offre un patrimoine naturel d'une grande richesse, avec ses espaces boisés (25% du territoire), ses 1 800 kilomètres de cours d'eau, le parc naturel régional du Gatinais français, la forêt de Fontainebleau (classée au patrimoine mondial de l'Unesco), six sites Natura 2000 et les nombreux espaces naturels sensibles que le Conseil général s'attache à protéger.
Cet environnement privilégié constitue un cadre exceptionnel pour la pratique des sports de nature, comme l'escalade en forêt de Fontainebleau, l'aviron et le canoë-Kayak à Vaires-sur-Marne ou encore la randonnée avec plus de 3 000 kilomètres d'itinéraires balisés.
La pratique des activités de pleine nature en Seine-et-Marne représente des millions de pratiquants occasionnels, essentiellement franciliens, dont plus de 47 000 licenciés répartis dans 550 clubs.
Dans ce contexte, la loi a confié aux Départements la mission d'assurer le développement maîtrisé des sports de nature en s'appuyant sur la CDESI, commission départementale des espaces, sites et itinéraires, un organe de consultation et de concertation.
Les objectifs de la CDESI
Mise en place dans notre département depuis le 26 juin 2006, la CDESI contribue de fait à renforcer la politique départementale à la croisée du sport, de la nature et du tourisme, dans un soucis d'harmonie et d'équilibre.
Ses trois missions principales sont :
* De participer à l'élaboration du plan départemental des espaces, sites et itinéraires de pleine nature (PDESI) qui devra ensuite être adopté par l'Assemblée départementale,
* D'émettre, à titre consultatif, un avis sur les projets relatifs à la pratique des sports de pleine nature ou sur les projets portant atteinte aux espaces naturels qui sont susceptibles d'accueillir ces sports,
* De concilier les usages entre les différents utilisateurs des espaces naturels.
Charte de bonnes pratiques des loisirs motorisés
Depuis quelques années, on constate en Seine-et-Marne une augmentation de la demande de pratique de sports et de loisirs motorisés : quad, 4X4, moto verte, etc. Souvent libre et auto-organisée, cette pratique génère parfois, des problèmes (de sécurité, de cohabitation, de respect de la propriété privée, d'impact sur l'environnement...) pour les élus locaux, les riverains, les autres usagers de la nature, les gestionnaires d'espaces naturels...Afin de favoriser une pratique des loisirs motorisés respectueuse de l'environnement et des autres usagers de la nature, une charte de bonnes pratiques vient d'être rédigée. Fruit d'un travail de concertation, elle a été adoptée par la CDESI (Commission Départementale des Espaces, Sites et Itinéraires), instance qui réunit les acteurs sportifs, institutionnels et environnementaux concernés par le champ des sports nature.
Cette charte vise à améliorer les comportements et les pratiques par une sensibilisation des pratiquants et une implication des représentants motorisés assurant une mission d'information et de médiation auprès des pratiquants et des communes.
Vous aussi, adhérez à la démarche !
En remplissant le formulaire en ligne (http://www.seine-et-marne.fr/charte-de-bonnes-pratiques-des-loisirs-motorises) , vous pouvez, vous aussi, participer à cette démarche. En plus d'adhérer à la charte, ce formulaire vous permet de faire part de vos attentes, de vos pratiques, de vos réflexions et de contribuer à une pratique raisonnée des loisirs motorisés. Après avoir complété ce formulaire, vous recevrez un autocollant de "randonneur responsable" à apposer sur votre véhicule, ce qui vous permettra de promouvoir cette initiative et de sensibiliser les autres pratiquants aux bonnes pratiques.
Vous pouvez également devenir acteur de la démarche en complétant et renvoyant, chaque fois que vous le jugerez utile au gré de vos randonnées, la fiche d'observations téléchargeable sur le site du CG77.
Les informations qui vous concernent sont destinées au Webmaster du Conseil général de la Seine-et-Marne. Il peut être amenés à les transmettre aux services concernés. Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données vous concernant (loi "Informatique et Libertés" du 6 janvier 1978) Pour toute demande, adressez-vous à : webmaster@cg77.fr
Pour contribuer à une pratique durable des loisirs motorisés :
- Je randonne en respectant l'environnement et la propriété privée...
- J'adopte un comportement respectueux de la faune et de la flore.
- Je fais attention aux risques d'incendie en période sèche.
- Je respecte les chemins, leurs abords et les interdictions matérialisées.
- Je participe à des actions de protection de l'environnement et j'emporte tous mes déchets.
- Pour faire demi-tour, je cherche une zone adéquate sans sortir du chemin.
- Je veille à la conformité de mon véhicule avec les normes en vigueur (bruit, pollution, pneus...).
Je randonne avec courtoisie et discrétion...
- J'évite de randonner en groupe trop important.
- Je suis discret à l'abord de zones fréquentées par d'autres usagers et des zones d'habitation.
- Je me range et je roule au pas lors de la rencontre d'autres usagers (randonneurs, chasseurs, pêcheurs, engins agricoles et forestiers...).
- Je me range et je coupe mon moteur lorsque je croise des cavaliers.
- Je favorise le dialogue et je salue.
- J'évite autant que possible les chemins balisés les plus fréquentés.
- Je redouble de prudence sur les itinéraires balisés et en période de chasse.
Je randonne tout en assurant ma sécurité et celle des autres usagers...
- Je roule avec un véhicule dont les éléments de sécurité sont en bon état.
- Je porte un équipement de sécurité adapté.
- J'emporte du matériel de communication et de secours.
- J'adapte ma vitesse aux conditions de circulation (météo, visibilité, fréquentation...) et en groupe, je respecte une distance de sécurité entre les véhicules.
- J'évite de rouler seul et j'informe mes proches de mon itinéraire.
- J'informe les communes et les associations de pratiquants des problèmes de sécurité dans les chemins.
- Je randonne en citoyen responsable, mon comportement engage celui des autres pratiquants...
- Je respecte le code de la route qui s'applique également dans les chemins.
- Je respecte les interdictions matérialisées : panneaux et barrières.
- Je m'interdis de rouler en hors-piste et de parcourir le lit des cours d'eau.
- Si je dois traverser un cours d'eau à gué, je le fais aux endroits prévus à cet effet.
- Je m'interdis d'utiliser un véhicule non homologué.
Ennemis de la nature... Est-ce de la Bonne pratique ce qui s'est produit sur les hauteurs de la Roche aux Sabots et ailleurs déjà. De très nombreux commandements que vous défendez ici, ont été bafoués pour quelques voies de plus dont le monde de la grimpe pouvait très bien se passer "par respect" des autres et pour un lieu que nous aimions sans ces cicatrices injustes. Des cicatrices que la nature devra encore une fois effacer si la paix revient dans ce petit bout de nature sacrifiée "par jeux". - Comment peut-on après faire la morale aux autres ?
RépondreSupprimerBonjour. Et que s'est-il produit d'après vous ?
SupprimerVous parlez sans doute des ouvertures qui se multiplient depuis plusieurs années dans les anciennes carrières et propriété privée sur le pignon de la justice de Noisy ?