Les calanques de Marseille sont un des sites préférés des grimpeurs, randonneurs et des nombreux touristes qui les parcourent chaque année. Après une très longue procédures et de nombreux conflits, l'Etat a fini par classer la zone en Parc National. Une décision politique prise avant de régler les problèmes les plus importants des Calanques : les pollutions en mer par les "boues rouges" et les égouts de la seconde ville de France !
Depuis l'annonce en septembre 2014 (ici) de la décision du conseil d'administration du Parc national des Calanques de prolonger de 30 ans la dérogation accordée à l'industriel pour rejeter en mer des résidus liquides, la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, et Alteo se livrent à une guerre de communication sur fond d'expertises sur la nocivité des tristement célèbres "boues rouges".
Depuis l'annonce en septembre 2014 (ici) de la décision du conseil d'administration du Parc national des Calanques de prolonger de 30 ans la dérogation accordée à l'industriel pour rejeter en mer des résidus liquides, la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, et Alteo se livrent à une guerre de communication sur fond d'expertises sur la nocivité des tristement célèbres "boues rouges".
La préfecture avait programmé une première enquête publique du 20 avril au 5 juin 2015 sur ce sujet sensible avant de faire machine arrière et d'ordonner des études complémentaires sur le milieu.
Depuis bientôt 50 ans, l'usine de production d'alumine de Gardanne, (ex-Péchiney rachetée en 2012 par le fonds d'investissement américain HIG et renommé Alteo), rejette en pleine mer au large de Cassis les résidus de son exploitation. Si cette autorisation expire le 31 décembre 2015, l'industriel
a demandé à poursuivre les rejets liquides, inévitables selon lui.
L'enquête publique sur le renouvellement de l'autorisation de rejets des déchets devrait donc être reprogrammée du 17 août au 25 septembre. La préfecture a indiqué qu' après clôture de l'enquête publique et remise du rapport de la commission d'enquête, le dossier sera soumis à l'avis du conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques (CODERST) ainsi qu'au conseil supérieur de la prévention des risques technologiques (CSPRT)", puis "au vu de l'ensemble des avis", le préfet des Bouches-du-Rhône "prendra sa décision".
Avant de s'intéresser à ce qui se trame dans les calanques. Intéressons nous d'abord à ce qu'il se passe en fôret de Fontainebleau car il y a fort à dire.
RépondreSupprimerWeek-end dernier ballade à Apremont ,quel horreur une poubelle à ciel ouvert au niveau du parking.
Hier ballade au cul de chien un désastre,des mouchoirs et sacs en plastique partout.
Et ne parlons même pas du cuvier qui est dégueulasse de chez dégueulasse.