Projet de Parc National, écrivez aux enquêteurs

Vous le savez, je suis assez réservé (pour ne pas dire opposé) au statut de Parc National pour la Forêt de Fontainebleau depuis 2006. Un PN c’est pour moi, plus d’interdits, plus d’injustice, et surtout aucune garantie de meilleures protections. Un sentiment qui se renforce à chaque fois (ou presque) que j’étudie ce qui se passe dans les parcs existants comme celui des Pyrénées et ses histoires d’ours !

J’ai évoqué ici très régulièrement le projet des Calanques. Il se concrétise de plus en plus et, d’ici octobre, l’enquête publique sera lancée pour une labellisation au printemps 2012 (si la campagne présidentielle le permet ?).

Paris Cham, novembre 2011


Ce dixième parc national français, n’est pas le seul projet en cours et bon nombre de français s’inquiètent de l’avenir de leur territoire…
En plus, l’état souhaite aussi augmenter considérablement le nombre d’espaces marins protégés ce qui ne va pas sans poser de problèmes tant aux marins pêcheurs qu’aux usagers des plages.

Si le Grenelle prévoyait dix zones de protection d'ici à la fin 2012, seules deux ont vu effectivement le jour. Le futur parc naturel marin des estuaires picards devrait rejoindre prochainement les deux autres espaces protégés, celui du Parc marin d'Iroise, créé en 2007 et présidé par Pierre Maille, (président du conseil général du Finistère) et celui de Mayotte, créé en 2010 … en attendant ceux de la côte Vermeille, de l'estuaire de la Gironde et des pertuis charentais et celui de l'archipel des Glorieuses, à Mayotte.

Sont annoncés également courant 2012, les parcs du bassin d'Arcachon et du golfe normand-breton lesquels devraient être devraient lancés, selon l'Agence des aires marines protégées sans oublier la particularité du futur PN des Calanques ! 

Hasard du calendrier je peux évoquer l’ensemble de ces sujets dans le même article !!!

Les Calanques :

Deux articles résument assez bien la situation.

Celui du Club Alpin Français (qui collabore notamment aux travaux de l’UICN) se félicite des dernières avancées tout en soulignant que « Le projet de PN représente non pas la meilleure solution mais certainement la moins mauvaise dans ce contexte ». L’argument  me rappel un 2ème tour de Présidentielle mais quand on arrive à cette situation, c’est qu’on a raté des épisodes…



Le deuxième, une interview de Benjamin Durand, Directeur adjoint du GIP des Calanques faite par Annabelle Alix pour le portail Verdura.fr démontre assez bien cette volonté d’interdire bon nombre d’activités de loisirs, malgré les désidératas des associations (dont le CAF) d’usagers de conserver une certaine liberté de pratique. Extraits :

"A.A : La création d’un parc national restreindra-t-il l’accès des calanques au public ?
B.D. : La circulation pourra être restreinte à certains endroits dits « laboratoires », réservés à l’observation de l’évolution de la nature en l’absence de l’homme. Mais l’objectif d’un parc national est de protéger un territoire tout en l’ouvrant au public. Le parc national des calanques posera quelques interdictions, mais surtout des régulations.
La randonnée, l’escalade, le VTT seront toujours autorisés mais plus réglementés. La chasse sera également maintenue, mais très encadrée.
A.A : Et en mer ?
B.D. : En mer, une zone de non-pêche serait imposée, afin de créer l’effet « réserve » (surdensité de poissons, plus gros et vivant plus longtemps). Son consensus concerne 10% du futur parc national marin. Les interdictions concerneraient notamment les jet-ski, les compétitions de chasse sous-marine et les engins électriques ou hydrauliques servant à la pêche. La plaisance serait toujours autorisée, mais un balisage indiquant où mouiller sera proposé, afin d’éviter les dégradations sous-marines.
Toutefois, le territoire maritime appartient au domaine public de l’Etat, qui est le souverain de son exploitation. Les réglementations spéciales incluses dans le décret de création du parc seront applicables dès sa publication. Le conseil d’administration du parc pourra par la suite faire de nouvelles propositions au préfet, qui prendra la décision finale."

Et son voisin le PN de Port Cros ? 

Une réunion d’experts internationaux s’est tenue à Hyères. Cette réunion concerne plus particulièrement la préservation de l’Atlantique Nord-Est (Convention OSPAR) autour des AMP. Hyères est située aux portes du Parc National de Port Cros. Du coup, en cherchant des infos sur le site internet du parc, je découvre que son périmètre devrait être encore agrandi. D’ailleurs, il ne vous reste plus que jusqu’au 22/09 pour donner votre avis via l’enquête publique…

Créé le 14 décembre 1963, le Parc national de Port-Cros, qui occupe 700 ha de terres émergées et 1288 ha de surfaces marines, est l'un des deux plus anciens Parc Nationaux de France et le premier parc marin européen. Il comprend l'île de Port-Cros, celle de Bagaud, les îlots de la Gabinière et du Rascas ainsi qu'un périmètre marin de 600 m de large. Son action s'étend également à l'île voisine de Porquerolles où il gère les 1000 ha d'espaces naturels. Par ailleurs, il gère, en collaboration avec les communes d'Hyères et de la Croix-Valmer, les espaces naturels acquis par le Conservatoire du Littoral de la presqu'île de Giens et du cap Lardier. Il est en outre, inscrit dans le réseau européen Natura 2000, qui vise à gérer et protéger les habitats et espèces d'intérêt communautaire. Enfin, le Parc national de Port-Cros est également chargé, depuis 1999, de coordonner la mise en place et le suivi du Sanctuaire International pour les Mammifères Marins qui est le fruit d'un accord tripartite entre l'Italie, la Principauté de Monaco et la France.

L’enquête est ouverte à tous et est en ligne sur le site : www.portcrosparcnational.fr dans l’onglet  "enquête publique"… une démarche citoyenne qui donc ne peut être anonyme (il faut renseigner nom, adresse, mail +téléphone).

Il vous faudra bien entendu consulter les 134 pages de l’enquête mais comme on pouvait s’en douter, cette extension s’accompagne déjà de nouvelles interdictions (collecte des champignons, interdiction aux touristes de venir sur l'ile avec leur chien même en laisse, perte de 16% du territoire de chasse... ) !

Trois questions sont posées par l’enquête : la première sur les nouvelles limites du parc, la seconde sur le Conseil d’Administration, la troisième sur la réglementation au sein du parc.

Cathy RIDOLFI, habitante permanente de l’île nous faisait remarquer les éléments suivants :

« Sur la composition du Conseil d'administration du Parc, nous n'avons qu'un seul représentant des habitants et en plus il est choisi par le Préfet, jusqu'a présent bien sur ils avaient choisi un « favorable », nous demandons plus de représentants et surtout de le choisir nous, habitants ! Concernant la règlementation en cœur de Parc (1 000 ha de l’île sur ses 1 254 ha !) et la bande de mer de 600 mètres tout autour de l’île, nous sommes défavorables à son renforcement. Ce site, par ailleurs classé Natura 2000 en mer est déjà largement protégé sans interdire encore plus ! »

« Nous ne sommes pas du tout contre la protection de notre île, nous la protégeons quotidiennement et ce sont nos ancêtres qui ont su la préserver et la garder en si bon état que maintenant on veut nous en déposséder. Pire, le Ministère de l'Ecologie a laissé effectuer des recherches de gaz de schiste à 24 kilomètres du parc de Port Cros dans la zone de protection écologique qui jouxte PELAGOS, sanctuaire marin international des cétacés. Cette recherche faite en décembre 2010 par le navire "bergen surveyor" a été suivi de plusieurs cas suspects de mortalité de cétacés !!!!! »
Elle ajoute pour l’anecdote, à propos de Yann ARTUS BERTRAND, membre du CA du Parc : « il a demandé l'autorisation d'y venir en hélicoptère et lorsque le Parc lui a refusé en disant que ce n'était pas très écolo, il a répondu je paierai pour compenser le bilan carbone ! »

Pour les autres, les touristes, il est important de noter que le périmètre sort des limites de l’île… L’enquête vise en effet à définir les limites des nouveaux espaces constitutifs du parc (cœurs terrestres et maritimes, aire potentielle d'adhésion et aire maritime adjacente). Le projet propose notamment de classer certains espaces de Porquerolles en "cœur de parc" et la rade des îles d'Hyères, jusqu'aux premières crêtes du massif des Maures, en aire potentielle d'adhésion et en aire maritime adjacente, y compris sur des communes ayant manifestés leur opposition !

Et les projets de Parcs Marins

Il y a deux trucs qui me gênent considérablement dans cette course effrénée du gouvernement français à vouloir tout protéger :

-      Augmenter les espaces maritimes protégés est-ce efficace et utile ?

En France, la coordination des AMP est assurée depuis Avril 2006 par lagence des aires marines protégées. Son objectif est de couvrir par des AMP 10% des zones sous juridiction française d’ici 2012, et 20% d’ici 2020 ! Or, une étude récemment publiée par l’Académie Nationale des Sciences américaine a démontré qu’en protégeant 4% de la superficie totale des océans, nous pourrions préserver une grande majorité des espèces de mammifères marins (84%).

Cette étude a permis pour la première fois de cartographier au niveau mondial, les lieux de vie de 129 espèces de mammifères marins. C’est ainsi qu’on a pu constater que 84% de ces espèces étaient représentées sur 9 sites en particulier : les côtes argentines, péruviennes et sud-africaines, le Nord Ouest de l’Afrique, l’Est du Canada, et le large de l’Australie, du Japon, du Mexique et de la Nouvelle Zélande.

 
Malgré les bénéfices apportés par la préservation des sites sur leurs écosystèmes, les AMP ne sont pas préservées de l’acidification des océans, du réchauffement climatique et des autres formes de pollution puisqu’il n’existe pas de « barrière » pour délimiter ces zones protégées. Il ne suffit donc pas de  classer quelques zones maritimes pour que leur sauvegarde soit assurée !

Ainsi faire un PN dans les Calanques, c’est un peut mettre un pansement sur une jambe gangrénée tout en interdisant au malade les visites de ses meilleurs amis et des docteurs. En effet, les eaux polluées (même si elles sont maintenant épurées) de Marseille vont continuées de se déverser dans la calanque de Cortiou en zone protégée !

Et que dire des boues rouges déversées depuis 1966 par l’aluminerie de Gardanne dans une fosse marine à 7 km des plages de Cassis en pleine zone protégée ?! L’autorisation court jusqu’en 2015… L’entreprise y déverse jusqu’à 1 million de tonnes par an mais ont nous promet une réduction à 190 000 t en 2011. Tient, il est passé où le reste ?

Photo : Mouraret in PC novembre 2011


-      Quels moyens sont mis en place pour accompagner ces créations et les faire respecter ?

« La France connaît des difficultés pour respecter le calendrier de création de parcs naturels marins décidé lors du Grenelle de l'environnement, en 2007 : une dizaine d'ici à fin 2012. Avec le début de son enquête publique, mardi 16 août, le projet de création du parc naturel marin des estuaires picards, situé dans la Manche, entame sa phase finale. » peut  on lire dans le communiquée de presse. Là aussi, il vous reste peu de temps pour vous exprimer !

Mais ce qui fait actuellement défaut ce sont les financements. Et, face à des budgets contraints et des finances publiques en situation délicate, quel sera effectivement le devenir de ces parcs ?

Comme le rappelait récemment dans les colonnes du Monde, Denez L’ Hostis, administrateur des Aires marines protégées pour le compte de la fédération d'associations FNE :

 « Une fois créé, le parc marin est une coquille vide. Il faut deux à trois ans, après la création, pour mettre en place un plan de gestion. Le problème ce n'est pas de créer un parc, c'est de lui attribuer des moyens par la suite ». 

Les Bretons résistent contre le vent !

La Bretagne regorge de lieux splendides que certains souhaiteraient mieux protégées mais que d’autres veulent dénaturer pour atteindre un deuxième objectif français, celui des énergies renouvelables et propres !

Les algues vertes nous ont certes pourris l’été mais elles faisaient oublier les polémiques autour de la création de grands parcs éoliens et le refus de ses habitants, ses pêcheurs et ses agriculteurs de se voir octroyer de nouvelles zones protégées d’où ils seraient exclus !

Pour le projet de PNR du Golfe Morbihan, la Région, maître d'œuvre, a décidé de ne pas présenter le projet, pourtant bouclé, au ministère, faute de consensus entre les communes. Le SIAGM, organisme porteur du dossier, demande cependant à Jean-Yves Le Drian de relancer la procédure tout en sachant que la communauté d'agglomération du Pays de Vannes estime, elle, que le Golfe a plus sa place dans le parc marin du Mor Braz.





Ce deuxième projet de Parc Naturel Marin dans le Mor Braz en Morbihan est gelé (en breton Mor Braz par rapport au Golfe, qualifié de «petite mer»(MorBihan) Après la création du parc marin d'Iroise, au large du Finistère, un deuxième parc de ce type devait voir le jour en sud-Bretagne de Quiberon au Croisic (en englobant Houat et Hoëdic) après son annonce en 2009... Il  était très attendu des opposants à la dispersion en mer des produits de dragage des ports, alors que se profilent des projets de désenvasement de Port Haliguen et de Port Crouesty. Le décret de création était prévu pour 2012.Pour autant, au large de la Bretagne-Sud, plus de 30 % des mers territoriales sont déjà couverts par des aires marines protégées (sites Natura 2000, réserves naturelles)

Toujours selon DenezL'Hostis, interrogé par le Télégramme, «le Parc du Mor Braz n'est pas dans la liste des espaces qui devraient faire l'objet d'une étude préliminaire». Pourquoi ?  «Des problèmes budgétaires et de moyens», répond-t-il  «Il est au-dessous de la pile»...

D’ailleurs question finances voici ce qu’on pouvait lire dans la lettre d’info du Sénat du 19/08/2011 :


"Finances : améliorer la gestion des parcs nationaux de France

Les parcs nationaux disposent de moyens conséquents : plus de 70 millions d’euros leur étaient destinés dans le projet de loi de finances pour 2011. La commission des finances du Sénat a jugé nécessaire de dresser un bilan des moyens affectés à ces établissements et de l'usage qu'il est fait de ces financements.

Le rapport présenté en mai dernier s’appuie sur les observations de deux référés de la Cour des comptes aux conclusions sévères, le premier sur l'établissement public « Parcs nationaux de France » (PNF), datant de début 2010, le second relatif à l'ensemble des parcs nationaux, transmis début 2011 à la commission des finances. Jean Arthuis (UC, Mayenne), son président, a rappelé que malgré la hausse des crédits « aucun progrès significatif du point de vue de la protection de l’environnement comme de la rigueur de la gestion n’a été constaté ».Le Sénat a en effet relevé le manque de rigueur dans la gestion administrative et financière des parcs, l'insuffisance des indicateurs de résultat et le bilan mitigé des trois premières années d'existence de l’établissement public Parc Nationaux de France, en particulier du point de vue des économies d'échelle et de la mutualisation des moyens. Ce rapport participe à la réflexion sur le pilotage et la gouvernance des moyens attribués à la protection de la biodiversité.

« Les parcs sont des outils de la biodiversité et de l’environnement tout à fait stratégiques a souligné Fabienne Keller (UMP, Bas-Rhin), rapporteur. La rigueur doit donc être grande pour que nous puissions continuer à y consacrer des ressources croissantes, à un moment où la règle est plutôt la rigueur et la réduction des moyens. »

Enfin, plus au Sud… dans l'estuaire de la Gironde
source LPO

L’enquête publique sur  le projet de création d'un parc naturel marin sur l'estuaire de la Gironde et les pertuis charentais est ouverte jusqu’au 22/09 !

Durant deux ans, la mission d'étude pour la création du parc a travaillé à la définition du périmètre du parc, la formulation de ses orientations, et  la composition du conseil de gestion du parc. Cette mission menée sous la responsabilité du préfet maritime de l'Atlantique et de ses collègues préfets des départements de la Vendée, de la Charente-Maritime et de la Gironde.

Au cours des 400 rencontres qui ont ponctué la concertation chaque groupe d'usagers n'a eu de cesse de défendre ses acquis ou prérogatives, au point que, dans les derniers épisodes de la concertation, au printemps dernier, les préfets se voyaient dans l'obligation d'ajouter une sixième orientation au projet, afin de satisfaire la demande des pêcheurs professionnels.
La LPO aimerait encore agrandir le périmètre et s’oppose aux activités de pêche loisir !

Bref, si vous aimez ces zones, quelqu'en soit la raison, il est impératif de faire entendre votre voix dans les enquêtes publiques en cours.

C'est facile, et cela peut généralement se faire par internet !

Rassembler, mobiliser vos associations et demander à tous vos adhérents d’envoyer un courrier au Commissaire Enquêteur. Celui-ci tiendra obligatoirement compte des différents avis.

Cela prend un peu de temps, cela nécessite de lire les documents mais c'est ainsi que l'on peut préserver nos dernières libertés en matière de loisirs sportifs de pleine nature.

Sources :

http://www.senat.fr/notice-rapport/2010/r10-508-notice.htmlhttp://www.vedura.fr/actualite/6906-parc-national-calanques

http://www.sudouest.fr/2011/08/16/les-pertuis-et-l-estuaire-a-l-enquete-475399-706.php

http://www.sequovia.com/actualites/7942-des-aires-marines-protegees-pour-preserver-et-restaurer-la-biodiversite.html

http://www.actu-environnement.com/ae/news/parc-national-Port-Cros-enquete-publique-13299.php4

http://science-ethique.blogspot.com/2011/09/coup-de-vents-sur-les-projets-de-parc.html

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/parc-marin-le-projet-sur-le-mor-braz-en-panne-01-09-2011-1415324.php http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=23039&title=Domaine%20public%20maritime%20:%20quel%20avenir%20pour%20les%20coutumes%20et%20traditions%20c%C3%B4ti%C3%A8res%20

http://www.science-ethique.org http://energiesdelamer.blogspot.com/
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2 commentaires :

  1. C'est vrai, c'est un scandale de vouloir limiter la chasse à Port-Cros ["(collecte des champignons, interdiction aux touristes de venir sur l'ile avec leur chien même en laisse, perte de 16% du territoire de chasse... ) !"]! Chacun sait que les chasseurs sont les meilleurs défenseurs de la bio-diversité !
    Et comme les baleines ne viennent pas se reproduire en France, pourquoi faire des parcs marins ?

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  2. Bonjour et merci pour votre commentaire,

    J'aime beaucoup votre humour aussi ironique que le mien.

    Les associations de chasse sont maintenant reconnue légallement comme défenseurs de la nature(voir notre page PN et PNR en débat). Merci l'Etat. A ce titre, elles siègent dans les instances se prononcant sur la sauvegarde de l'environnement...
    La chasse est autorisée dans les PN ! Encore merci l'Etat... fallait pas laisser faire si vous n'êtiez pas d'accord... Il faut donc s'exprimer dans l'enquête publique.

    Mais la chasse est un mal nécessaire surtout sur une île de moins de 1 300 ha au moins pour la régulation des éspèces sans prédateur.

    J'aime pas la chasse mais faut dire les choses comme elles sont.
    Bien à vous.
    Greg des Blocs ou Greg débloque.

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