[BLEAU] La nouvelle Commission Escalade Bellifontaine est lancée depuis le 05 février 2020

Hier, se tenait la première réunion de la « nouvelle » Commission Escalade Bellifontaine (CEB) co-présidée par l’ONF et le COSIROC suite à la signature de la Convention dont nous avons déjà largement parlé. Nous écrivons « nouvelle » car cette commission est en fait une renaissance après plus de 3 longues années de vacances. L’occasion pour l’Office National des Forêt de présenter le périmètre couvert par cette convention et les enjeux liés au développement de la pratique de l’escalade en forêt devant la trentaine de représentants des associations (AFF, CAF, Cosiroc, FFCAM, FSGT, GUMS, Respect Bleau…), Office de tourisme de Fontainebleau, représentants du sport et de l’enseignement et, bien entendu, grimpeurs – ouvreurs indépendants. Premier doute levé, le périmètre de la convention et de la CEB se limite à la gestion des sites autorisés au balisage des circuits d’escalade en forêt domaniale de Fontainebleau (inclus Trois Pignons, Commanderie, Nemours). Les autres sites franciliens seront traités directement par la Commission des circuits du Cosiroc.

La première réunion de la Commission Escalade de Bleau se tenait mercredi soir à l'Ermitage de Franchard
La première réunion de la Commission Escalade de Bleau se tenait mercredi soir à l'Ermitage de Franchard
Photo : François Lesin


L’ONF nous a rappelé qu’il doit faire face, en tant que gestionnaire, au formidable développement des pratiques sportives « outdoor » qui conduisent à une très forte fréquentation des forêts périurbaines par un public pas toujours au fait des risques et usages en milieu naturel. Si les forêts domaniales sont ouvertes au public, elles le sont sous conditions et le niveau d’exigence du gestionnaire est d’autant plus important que la domaniale de Fontainebleau fait l’objet de très nombreuses mesures de protection. L’ONF Fontainebleau a donc mis en place des conventions avec les usagers à commencer par les randonneurs, les vététistes et les grimpeurs et souhaite poursuivre la réflexion avec les cavaliers. De son côté, le Cosiroc a rappelé l’exceptionnelle autogestion du parc de circuits d’escalade par les bénévoles depuis les années 70 et notamment les travaux entrepris pourla diminution de la taille du balisage, son harmonisation et sa qualité qui ont donné naissance à la publication d’un livret de recommandations régulièrement mis à jour depuis les années 80.

Le rôle de la Commission Escalade bellifontaine est de coordonner les travaux de balisage et d’entretien des circuits dans les zones d’escalade équipées et validées par le gestionnaire avec 3 objectifs prioritaires pour l’ONF : assurer un équipement de qualité, éviter les conflits d’usages et répondre aux exigences de protection de l’environnement et du patrimoine. En effet, pour l’ONF, il est impératif que les infrastructures proposées dans les sites accueillant du public répondent à des exigences de qualité et de sécurité, l’accueil des touristes étant un fort enjeux économique sur le territoire. Il est donc important de veiller à ce que l’équipement des sites ne se fassent pas à l’exclusion d’autres usagers ou entraînent des conflits entre usagers. Enfin, outre les Réserves Biologiques Intégrales, le massif forestier est un territoire où les enjeux environnementaux (protection faune, flore mais aussi érosion, déchets...) et patrimoniaux (gravures rupestres, abris de carriers…) sont très importants notamment du fait des directives européennes du réseau Natura 2000, de son classement en forêt de protection mais aussi en vue de son futur classement UNESCO. 

L’escalade étant un sport en fort développement et où de nombreux pratiquants ne sont pas fédérés, la CEB aura aussi pour mission de participer à l’éducation ces individuels aux bonnes pratiques (relire notre article sur "faire ses premiers pas de grimpeur à Bleau"). Pour ce faire, le Cosiroc et l’ONF ont élaboré une cartographie détaillée des surfaces de l’ensemble secteurs où le balisage est autorisé et où les pratiquants sont incités à venir. La réunion s’est poursuivit sous forme de questions-réponses autour du fonctionnement de la CEB, les critères de validation et acceptation des autorisations de balisage, les moyens techniques (prise en charge des frais par le Cosiroc, nature des produits décapants et peintures autorisés, durabilité des balisages), le nombre de circuits et secteurs, la coordination des travaux, la gestion des ouvertures individuels non balisées…

La première réunion de la Commission Escalade de Bleau se tenait mercredi soir à l'Ermitage de Franchard sous la présidence conjointe de l'ONF et du Cosiroc. Photo Greg Clouzeau
Le Cosiroc a déjà mis en place sur son site internet un certain nombre de pages sur le sujet (bonnes pratiques, mémento des recommandations de balisage) et vous pourrez y enregistrer vos demandes d’autorisation d’entretien de balisage, modifications de circuits ou si le besoin s’en fait sentir, ouverture de nouveau secteur étant entendu que si l’ONF n’est pas fermé sur le sujet, il attend des grimpeurs et du Cosiroc une gestion « raisonnable » du développement des circuits. Le balisage en forêt est une activité réglementée et soumise à l’autorisation de l’ONF. La plateforme du Cosiroc aura pour but de coordonner les travaux d’entretien et d’ informer les techniciens forestiers de chaque secteur tout en protégeant les baliseurs des éventuels tracas administratifs.

Retrouvez les zones autorisées avec le Communiqué officiel de l'ONF sur la Convention dans cet article.

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15 commentaires :

  1. Demande explication de texte : on peut lire "objectifs prioritaires pour l’ONF : assurer un équipement de qualité, éviter les conflits d’usages". De quel équipement parlez-vous et qu'appelez vous les conflits s'usages. Vous dites " Le balisage en forêt est une activité réglementée et soumise à l’autorisation de l’ONF". Le cosiroc n'a donc pas l'autorisation d'en donner elle-même l'autorisation de tracer. les bénévoles sont donc dorénavant tenus à demander l'autorisation pour repeindre un circuit... Cela veut dire qu'ils sont assujettis à l'ONF. C'est d'autant plus vrai que l'ONF s'est engagé à fournir aux visiteurs-grimpeurs des circuits en bons états. Voir leur brochure. L'onf ne peut pas prétendre cela car il n'y a personne chez eux qui s'occupe des circuits... D’ailleurs la majorité des participants à cette réunion, ne sont pas concernés par les problèmes de maintenances, puisqu’ils n’entretiennent rien depuis très longtemps. Des curieux sans doute !

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    1. Bonsoir. Commençons par la fin. Il y avait dans cette salle plusieurs baliseurs très actifs ces 5 dernières années. Donc, à vous lire, on comprend tout de suite que votre propos est uniquement fait pour dénigrer cette commission avant même qu'elle ait commencé à travailler. Alors oui, les temps changent et l'onf reprend le contrôle aux côtés du Cosiroc pour ce qui est d'autoriser la création de nouveaux équipements tel que les balisages de circuits d'escalade au même titre que ceux de la randonnée, du VTT ou des cavaliers. C'est normal, il est le gestionnaire et responsable du massif ! Il n'y a pas d'assujetissement à l'onf mais une collaboration nécessaire pour pouvoir utiliser les secteurs de la forêt. Toutefois, le Cosiroc pourra facilement autoriser les balisages d'entretien et légères modifications de circuits. Et pour que cela ne traîne pas, un délai de 30 jours sans réponse négative vaudra pour acceptation.

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  2. Évidemment, vous n'êtes pas expliqué sur vos termes… J'ai en rien dénigré cette commission puisque la vraie commission de travail n’a pas encore eu lieu, pour cela il faut que les actifs soient majoritaires, et fait qu’il y a un peu moins de « représentation ». Non, je réagi simplement à vos propos "mal choisis" comme souvent dans vos écrits. Et là encore : l'onf reprend le contrôle aux côtés du Cosiroc. Qu’est ce que ça veut dire ? Ils auraient donc perdu le contrôle du terrain et des « bénévoles ». D’une certaine manière, vous êtes en train de nier la qualité et l'immense travail des volontaires à la maintenant réalisé ces trois dernières années (par seulement 5 ou 6 « travailleurs » comme vous dites). Et cela hors contrôle d'après vous. C'est curieux, vous avez l’air satisfait alors que des gens du cosiroc et de l’ONF ont mis pas moins de trois années pour s'entendre et arriver enfin à se réunir « un verre de l’amitié » à la main… Sauf que pendant que vous discutiez, jamais le travail des bénévoles n'a été aussi efficace sur le terrain. Je cite : au Potala, à la Canche aux Merciers, à la Drei Zinnen, au Gorges d’Apremont, aux Gorges de Franchard Hautes Plaines et Sablons, Pignon Poteau, Rocher fin, J.A Martin, Roche aux Sabots, St Germain, Le Calvaire… Au total plus de 30 circuits entretenus et rénovés comme jamais il y en a eu en 25 ans. (Car tel est le constat)… Vous pouvez nous répondre sur ce ton, faire croire que vous avez été partie prenante de tout ça mais en réalité vous savez peu… Pour le dénigrement… Je vous renvois à vos articles…

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    1. Très cher détracteur,
      Une nouvelle fois vous ré-écrivez l'histoire. Une nouvelle fois, vous interprétez nos propos et avancez des arguments imprécis avec le ton de celui qui sait. Alors nous aussi.
      Vous nous demandez une explication de texte sur ce qu’il faut comprendre des propos de Pierre Edouard Guillain, directeur de l’ONF 77 : « De quel équipement parlez-vous et qu'appelez-vous les conflits s'usages ? » La notion d’équipement assez claire et n’a rien de nouveau et nous sommes étonnés qu’elle vous ai échappé si longtemps ! Elle fait référence à une procédure de recensement départemental afin d’élaborer le PDESI (Plan départemental des Espaces, Sites et Itinéraires) selon l’article (article 50-2 de la loi n° 84-610 relative à la promotion et au développement du sport). L’Inventaire est fait sur la base du Recensement des Equipements Sportifs (RES), des contributions des comités sportifs et autres usagers (professionnels, établissements d'enseignement) et gestionnaires territoriaux (département, communes, intercommunalités) des lieux de pratique dont l'inscription au PDESI est souhaitée (afin de garantir leur pérennité mais aussi souvent d'en rendre l'aménagement ou l'entretien subventionnable). Le PDESI est porté à connaissance des acteurs concernés (communes, propriétaires) recueil des accords et avis le cas échéant, sur la base notamment de conventions art. L113-6 (c. urb.) et art. L113-7 (c. urb.). Le PDESI doit réglementairement faire l'objet d'un accord des propriétaires forestiers et, les cas échéant de l'Office National des Forêts (ONF) ou du Centre Régional de la Propriété Forestière (CRPF) pour les forêts dotées d'un plan de gestion art. L122-11 (c. forestier). Bref, voilà pourquoi l’ONF considère les circuits d’escalade au même titre que les sentiers de randonnée comme un équipement sportif et met en place les procédures d’autorisation qui vont avec. Quant à la notion de conflits d’usage, Pierre Edouard Guilain, rappelait dans son discours à la Commission la difficile gestion du partage des sites entre randonneurs, Vététistes, cavaliers, chasseurs, slacklineurs et depuis peu utilisateurs de drones !
      Ensuite, comme souvent dans vos commentaires sur nos articles, vous interprètez nos phrases. Non, le terme « reprend le contrôle » n’est pas mal choisi. Bien au contraire, il est tout à fait à propos ! En effet, vous écrivez vous-même que « 30 circuits ont été entretenus et rénovés » . C’est vrai. Mais pour bon nombre d’entre eux nous pouvons ajouter en toute illégalité puisque sans autorisation du gestionnaire ! Passons sur les entretiens et modifications mineures et évoquons seulement les créations non autorisées par l’ONF. C’est le cas dans les Gorges d’Apremont, à la Canche aux Merciers, au Drei Zinnen, à Franchard, au Calvaire, etc !!!
      Par ailleurs, on ne peut pas se réjouir comme vous le faites de ce nombre des entretiens et créations. Une trentaine de circuits par an était la moyenne dans les années 90. Dix par ans sur la centaine de circuits en forêt domaniale, cela signifie qu'il faut dix ans pour entretenir l'ensemble du parc. Et comme il n'y a pas que la forêt domaniale... C'est plutôt 20 ans à 30 ans qu’il faudrait à ce rythme !
      Nous ne nions absolument pas « la qualité et l'immense travail des volontaires » et n’avons pas écrit qu’il avait 5 ou 6 « travailleurs ». Merci de relire l’article (dernière phrase du deuxième paragraphe) !
      Enfin, ou nous nous réjouissons de cette signature. Si la rédaction et la signature de cette convention a pris autant de temps c'est qu’il y avait un problème de fond, l'une ou l'autre des parties souhaitant imposer à l’autre des choses non acceptables. Ensuite, il y avait aussi un conflit de personne. On ne peut aboutir à un compromis que si les deux parties veulent y arriver. Le problème est maintenant réglé. Au passage, nous souhaitons la bienvenue à Morgane Souche au poste de Responsable accueil et biodiversité.
      Grégoire Clouzeau
      Directeur de la publication sur la Tl²B

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  3. Vous avez raison, les "bénévoles" sont des hors la loi pour la plupart... Il faut les mettre au pas... Mieux leur interdire toutes initiatives, en somme laisser ce travail à des gens comme vous : carré et tout... Sauf que vous vous égarez. Le travail fait dans les massifs que j'ai nommé a été fait dans les règles. Je n'ai pas nommé volontairement les circuits "sauvages" de la route des cassis par exemple, bien que les ouvreurs disent avoir eu une autorisation (de qui, si ce n’est pas de l’ONF)… Pour le reste, votre démonstrations sur l'entretien des circuits est fausse... Écoutez un peu les autres, vous risquez d'en apprendre un petit peu sur la question... Contrairement à ce que vous cherchez à faire croire, nous avons travaillé avec un esprit de collaboration intelligente avec l’ONF autant que ça été possible avec l’arrivée des interférents soucieux de contrôler cette collaborations... C’est pour ça que nous avons la conscience en paix... A la réunion, il y avait très peu de volontaires à la maintenance sur la trentaine de présent… Trop peu pour parler de réussite…

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  4. Nous demandons un démenti concernant votre affirmation sur la prétendue "inégalité" des nouveaux circuits que nous avons créés à la Canches aux Merciers, à la Drei Zinnen, et aux Gorges de Franchard, puis inexacte. Pour les créations de circuits qui ont eu lieu au Gros Sablons, au Calvaire, Gorges du Houx, nous ne savons rien, aussi le mieux est de vérifier auprès des traceurs par qui ils ont eu l'autorisation et par quelque cheminement administratif. Puisque cela a pu se fait "en souterrain" puisque qu'il n'existait plus de commission circuits active pour rendre les projets "publics". Pour l'équipe des intervenants. Pierre Laroche...

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    1. Bonjour. Nous prenons bonne note de votre démenti et de l'existence d'un circuit parallèle d'autorisations '' officielles '' données sans concertation, en quatimi Par qui ont elles été données et comment ? Pourquoi certains ont ils obtenus ces autorisations et pas les autres ? Le moins que l'on puisse dire c'est que l'on est loin dans ce cas du principe républicain d'égalité de traitement entre les différentes demandes de balisage...

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  5. je vous l'ai dis... Nous, on ne sait pas pour les nouveaux circuits du Gros Sablons, du Calvaire et des gorges du Houx. Il faut demander aux créateurs des circuits que vous dites "illégaux", s'ils ont eu l'autorisation directe de l'onf, sans passer par le cosiroc puisque pas de commission pour cause de chamailles... Vous voulez être le rapporteur des activités des Bleausards, alors informez vous auprès d'eux avant d'écrire vos accusations...

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  6. Vous pouvez aussi vous informez auprès de vos amis du cosiroc...

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  7. Bonjour "unknown",
    Sans prendre parti pour qui que ce soit, j'avoue ne pas bien comprendre, à vous lire, qui vous a donné l'autorisation pour les nouveaux circuits de la Canche ou du Drei Zinnen ? Si tout a été fait dans les règles, c'est bien dire que l'ONF vous a donné l'autorisation, comme ça ?
    Au final, ça sert donc à quoi les commissions si l'ONF s'exonère de tout dialogue avec les "partenaires" ?
    Merci de votre réponse !

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  8. Les dernières demandes et les dernières autorisations accordées, l'ont été lors de la dernière réunion de la commission circuits présidée par madame Hay il y a trois ans maintenant. Comme depuis, il n'y a pas eu de réunion pour cause de la démission brutale des responsables de la SNE locale, puis ensuite mésentente entre le Cosiroc et l’onf (ce qui est récurent), peut être durant cette période de flottement, à défaut de convention, des « autorisations » de tracer ont été accordé directement aux entreprenants, il reste à savoir par qui. Il faut le demander aux différentes personnes qui ont tracé. Ce que je peux confirmer par contre, c’est qu’il y a bien eu pour la Drei Zinnen et la Canche aux Merciers une autorisation « publique » accordée par l’ONF. Voir le compte rendu des réunions. Avant d’écrire ses articles, il convient que l’informateur soit lui-même réellement bien informé pour éviter ces malentendus… Pierre Laroche

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  9. Merci pour ces éclaircissements. C'est à n'y rien comprendre, décidément... Si on en est encore à ce niveau, je ne vois pas quand il sera possible d'envisager une "rationalisation" des différentes pratiques sportives en forêt de Fontainebleau. Il faudra quand même que l'ONF se décide un jour à se donner les moyens, ou laisse la gestion à quelqu'un d'autre !

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  10. Effectivement ce n'est à rien y comprendre... Cela fait plus d'un mois et ni ONF ni Le cosiroc n'ont fait un compte rendu de cette réunion. Nous avons aucun adresse mail par exemple qui permettrait de contacter l'ensemble des personnes intéressées pour leur soumettre un projet concernant un circuit (création, reprise, transformation). L'on parle de co-présidence et en même temps nous ne connaissent pas les noms des responsables... Vous avez écrit cela : vous pourrez enregistrer sur le site du Cosiroc vos demandes d’autorisation d’entretien de balisage, modifications de circuits... Alors que vous dite aussi que seul l'ONF accorde ou pas les autorisations. Cela dont veut dire, qu'entres les actifs et l'ONF, il y a le Cosiroc, l’intermédiaire obligatoire par lequel il faut passer... C'est donc comme avant. L'autre observation, c'est qu'en plus, le site du cosiroc est "fermé"... Il faut avoir un compte, être membre d'un certain sens, bien que ces statues ne le permettent pas pour les individuels indépendants, majoritaires parmi les actifs.

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    1. Bonjour,
      Nous transmettons au Cosiroc !
      Deux remarques tout de même. Le site du Cosiroc n'est effectivement plus très à jour depuis la mort de Bernard, son dernier Webmaster. Le contact est très certainement Jean Yves Derouck pour cette partie et pour la CEB.

      Le fait de disposer d'un compte Cosiroc est une possibilité ouverte à tous y compris individuels et ne fait de vous un memebre du Conseil d'administration du Cosiroc. C'est juste une nécessité informatique. Vous conviendrez que l'anonymat pour poster une demande de création ou d'entretien de circuit ne simplifie pas les contacts !

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  11. C'est connu, mieux vaut affaire directement au Bon Dieu qu'à ses saints. Nous souhaitons pouvoir adresser nos projets et nos demandes d'autorisation directement à tous les partenaires de la commission sans passer par un intermédiaire unique. Comprenez que nous souhaitons "travailler " en mode coopératif, "sur un pied d'égalité » plutôt qu'en mode hiérarchique. Cela signifie, que le Cosiroc, même s’il fédère quelques personnes sous son enseigne, est néanmoins pour les indépendants qui tiennent à le demeurer, un partenaire comme n’importe quel autre membre de la commission. Nos demandes serons nominatives évidemment comme toujours. Mais pour l’instant, à par éventuellement envoyer directement notre demande à l’ONF, pour le moment faute de communication de co-présidents nous ne savons pas comment « partager nos projets » a l'ensemble des intervenants. l'UDI.

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