tag:blogger.com,1999:blog-1960588517869488540.post8718280233255710631..comments2023-12-11T09:19:17.656+01:00Comments on Tribune Libre de Bleau et Cie: La leçon d’Aristote : sur l’alpinisme et l’escalade, un livre signé Gilles RotillonRédaction TL²Bhttp://www.blogger.com/profile/09495384841250177006noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-1960588517869488540.post-32354001220259620722016-11-29T11:03:53.077+01:002016-11-29T11:03:53.077+01:00Oui en lisant ces deux ouvrages du même auteur pub...Oui en lisant ces deux ouvrages du même auteur publié à vingt ans d’intervalle, on découvre que rien ne s'est passé comme imaginé à fin années 1970, début 1980 : en fait personne n'a prévu l’extraordinaire évolution de l'escalade libre, ni le niveau atteint, ni par quel cheminement. Des murs en accès libre dans les cités pour rendre accessible à ses enfants, l'escalade : laisse béton, c’est un constat d'échec. Autre chose, si certains ont voulu "imposer" l'escalade libre en ôtant les clous, en réalité, ce sont à ceux, au contraire qui en ont planté en abondance sur du beau rocher gris, ont permis "sa libération". En effet, l’escalade libre ne s’est pas amender du clou, simplement du fait que les grimpeurs en avaient besoin pour ne plus avoir à les toucher et affronter des difficultés suicidaires sans protection solide . C’est intéressant de lire ces analyses et ces théories. Mais lisons avec circonspection ce que chacun raconte aujourd'hui, en disant par exemple qu'un tel est le papa du libre, ou tel autre, disant, " j'ai œuvré toute ma vie pour la démocratisation de l'escalade" en distribuant des idées, dans des réunions plus ou moins confidentielles, que d'autres ont concrétisés aux perforateurs sans le savoir : ben voyons : on les connait ceux qui ont concrètement changés les choses. - Ah ces gens qui écrivent en mettant du "je" quasiment à toutes les phrases. Autre chose, il n'y a pas de différence, dans l’acte, entre l'escalade en falaise, et l'escalade en montagne : là ou ailleurs, c'est toujours de l'escalade. La différence résidant par la nature du terrain et le choix laissé aux grimpeurs qu’en a sa sécurité et son degré d’engagement : si l’on voit la mort partout, évidemment, en peut avoir un rapport personnel avec ça, et le théoriser. Car en plus, cette histoire d’escalade « aseptisée » qui n’existe pas de fait. La défaillance humaine et matérielle est possible quelque soit le terrain. C’est d’autant possible que l’on veut faire croire que l’on est en sécurité en falaise école, alors que l’on se tue là aussi, alors que la mort ne soit pas, selon l’expression de l’auteur « l’essence de l’escalade », mais celle de l’alpinisme : d’où le distinguo que certains font en utilisant deux mots différents pour le même acte : grimper. Mais comme dit l’auteur : toutes ces controverses montrent que j’ai raison… Donc, si on n’est pas d’accort avec ses analyses et qu’on le dit : c’est affirmer ses propres faussetés. Donc pas de débat possible comme le souhaite l’auteur.<br />Jean-JacquesAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1960588517869488540.post-3456724715577618522016-08-02T13:17:05.858+02:002016-08-02T13:17:05.858+02:00Bonjour
Un livre très intéressant, personnellement...Bonjour<br />Un livre très intéressant, personnellement j'ai bien accroché sur la deuxième moitié du livre qui parle du futur de notre pratique au vue de l'évolution des équilibres économiques de la France. J'ai un peu moins aimé le début qui reparle de la différence entre l'escalade et l'alpinisme, qui me semble être une débat du passé. Je vous conseille de lire le livre "Alpinisme laisse béton" du même auteur, car le sujet est super : la séparation des pratiques de l'escalade et de l'alpinisme dans les années 80 et l'apparition des SAE en ville.<br />Rémi CappeauAnonymousnoreply@blogger.com